Nous, organisations révolutionnaires et membres de différents comités de rédaction révolutionnaires, déclarons notre solidarité indéfectible avec les maoïstes emprisonnés dans les prisons d’Europe. L’offensive générale menée en Europe principalement par les anciennes puissances impérialistes contre la tendance montante du communisme est un exemple de la crise générale de l’impérialisme.
Ceux qui font face à du harcèlement policier, des arrestations, des peines de prison et des faux procès méritent notre solidarité et notre soutien infaillibles lorsqu’ils qu’ils sont sous le feu de l’ennemi qui pense pouvoir se sauver de sa chute inévitable en criminalisant les mouvements, les organisations et les individus.
L’exemple du camarade Theo nous semble être la preuve du véritable esprit communiste face à la répression. Après avoir été arrêté sur son lieu de travail, à la suite d’une accusation fabriquée sans aucune preuve, le camarade Theo a été jeté dans les prisons de l’État français le 22 juillet 2019. Dés lors, le camarade Theo, profondément impliqué dans la lutte de classe en France L’État et l’étranger, avec un esprit admirable de détermination prolétarienne et communiste, se releva et commença à faire de la prison un lieu de combat. Sa grève de la faim en est la preuve. Elle a commencé le jour de son arrestation et se poursuit avec des pauses jusqu’à aujourd’hui, au mépris de plusieurs intimidations de la prison pour le faire arrêter complètement. Sous les attaques constantes de l’ennemi se matérialisant sous la forme de gardiens de prison et de l’administration pénitentiaire, qui veulent l’envoyer dans un service de psychiatrie, la clarté d’esprit et la vigueur du camarade se retrouvent dans ses lettres publiques, qui sont toutes des exemples de sa détermination et de sa juste appréciation de la raison réelle pour laquelle il est actuellement détenu.
La lutte pour la liberté des prisonniers maoïstes et des prisonniers révolutionnaires des luttes de libération nationale en Europe et dans le monde est une nécessité fondamentale de la nécessaire solidarité que nous, guidés par l’internationalisme prolétarien, assumons. Le camarade Théo lui-même, à l’intérieur et à l’extérieur de la prison, a soulevé le slogan de la liberté du prisonnier politique Georges Ibrahim Abdallah. Mais ce n’est pas assez. Nous ne demandons pas à l’ennemi d’être libre. La tendance à la hausse de la révolution va en effet provoquer plus de colère des anciens Etats bourgeois en Europe et dans le monde et les attaques contre les forces communistes qui se chargent de reconstituer les partis communistes ne font que commencer.
Face à cette situation, notre appel à la liberté n’est pas un appel à l’aide. C’est une déclaration que nous assumons pour tâche de défendre la vie et les droits de tous ceux d’entre nous qui sont ciblés par l’ennemi pour leur rôle dans la promotion de la juste idéologie du prolétariat, le marxisme-léninisme-maoïsme, principalement le maoïsme, au monde entier.
Collectif Anti-Impérialiste (Finlande)
Position de Classe (FRG)
La Cause du Peuple (France)
Partizan (Turquie)
Front Rouge (Autriche)
Front Révolutionnaire pour la Défense des Droits du Peuple (Brésil)
Serve the People Media (Norvège)
VND (Pérou)