A Renault et dans les usines, le rythme du travail en équipe brise le moral, le physique et fatigue l’organisme. Les cadences sont parfois difficiles à tenir, la pression des chefs peut être compliquée à endurer. Un ouvrier du site Renault Cléon, qui devait accumuler le travail de trois postes différents, à tenté de se suicider ce lundi 15 juin.
Heureusement, il y a eu une réaction ouvrière et l’ensemble de l’atelier de montage R à utilisé son droit de retrait, demandant à rencontrer la direction, qui a refusé.
Les syndicats parlent de « remonter les problèmes à la direction » alors qu’il s’agit en réalité d’un autre problème. Les ouvriers doivent s’organiser eux même pour casser les cadences, briser la pression des chefs et obliger l’usine à embaucher. Les directions des usines ne feront rien pour les ouvriers, et les syndicats servent de soupape de sécurité.