[Vidéo] Lyon : la représentation de la troupe de danse nationale israélienne perturbée par des activistes pro-palestiniens

Hier soir, dans le 8e arrondissement de Lyon, se tenait une représentation de la Batsheva, la troupe de danse de l’Etat sioniste d’apartheid, à la Maison de la Danse.

L’Etat sioniste d’Israël pensait pouvoir se servir de la culture et de l’art pour lisser son image d’Etat illégal, illégitime et criminel. Cette troupe de danse nationale fait partie de la stratégie de propagande d’Israël et est en partie financée par les bénéfices d’usines d’armements sionistes. Mais c’était sans compter sur la détermination des militants pro-palestiniens, qui ne comptaient pas laisser passer cette provocation et cette tentative grotesque de lisser l’image sanglante et criminelle de l’Etat d’Israël.

Tandis qu’une vingtaine de militants et militantes ont, à l’aide de tracts, pancartes et banderoles, averti et sensibilisé les spectateurs sur la teneur réelle du spectacle, une autre équipe était présente à l’intérieur de la salle. Dès les premières minutes du spectacle, ces activistes se sont simultanément levés dans toute la salle, du balcon à l’estrade même de la représentation, brandissant fièrement des drapeaux palestiniens, et montrant aux spectateurs le vrai visage du régime sioniste. L’opération fut un succès, car la troupe de danse fut interrompue et le rideau de la scène baissé en pleine représentation. Les militants ont ensuite été sortis de la salle par la sécurité aux cris de « Palestine Vaincra », « Libérez Georges Abdallah » et « A bas l’Etat sioniste ».

https://www.youtube.com/watch?v=iJqIRyDcygo&t

L’exigence de la libération de Georges Abdallah état également présente à l’extérieur de la salle, avec une banderole exigeant sa libération. Nous rappelons que le 4 juin se tiendra à Grenoble un rassemblement pour exiger la libération de notre camarade. Le 18 juin à Paris, à l’initiative de la Campagne Unitaire pour la libération de Georges Abdallah, aura lieu une manifestation nationale pour exiger sa libération.