Le Président Gonzalo, dirigeant de la révolution au Pérou et prisonnier de guerre depuis 1992 a récemment connu une aggravation de son état de santé.
Selon de nombreuses organisations internationales, comme le Centre brésilien de solidarité avec les peuples (Cebraspo), cette situation est due aux conditions de détention violentes auxquelles il fait face.
Le Cebraspo déclare : « Les conditions de détention violent les accords internationaux tels que la Convention de Genève et toutes les réglementations générales régissant les droits fondamentaux de la personne humaine et les droits des prisonniers, dans ce cas en particulier des prisonniers politiques ».
A l’inverse, Alberto Fujimori, dictateur fasciste du Pérou et responsable des politiques génocidaires, comme la stérilisation de centaines de milliers de femmes indigènes, a quant à lui connu des aménagements de peine par rapport à son vieil âge.